mardi 23 février 2010

Mi Cuba

On venait d'embarquer dans la navette depuis l'aéroport de Varadero vers notre Hôtel de La Havane, et je m'y suis un peu sentie comme si je retrouvais une vieille amie. 13 ans déjà depuis ma seule visite... Les champs, les chèvres qu'on sait pas c'est à qui qui broutent tranquillement, les odeurs, les montagnes au loin, les hommes, les femmes de la place, la langue qui chante. Ça m'a émue comme je ne m'y attendais pas.

Cuba ça a été plein de contrastes... des bâtisses restaurées voisines de celles qu'on laisse s'effondrer. C'est le spectacle du Cabaret le Parisien, un mini-Tropicana, et celui d'un homme qu'il lui reste trois dents et sa guitare qui harcèle le touriste de sa Guantanamera pour quelques sous. C'est un peuple ouvert, avide de culture, de littérature, d'histoire, qui voudrait supporter un gouvernement qui le prive de tout. C'est aussi fuir le regard du clochard qui a faim et nourrir le chat qui traîne au restaurant. Comment on fait han pour aller là-bas et ne pas avoir l'impression de contribuer à un système pourri? On tippe, on donne un bout de pain, des cadeaux aux femmes de chambre et on se console en se disant que les gros hôtels, ça fait travailler du monde?

De nombreux Cubains cherchent par tous les moyens à quitter le pays et leur misère. Après une semaine, je me demande encore ce qui pourrait inciter quelqu'un à s'y installer.

vendredi 12 février 2010

C'est moi!

Après un petit exercice fait dans le cadre du travail...

Assurance : l'assurance est similaire à la confiance en soi. En votre fort intérieur, vous savez que vous êtes capable de prendre des risques, de relever de nouveaux défis, de revendiquer ce que vous voulez et surtout d'accomplir ce que vous désirez. Vous avez également confiance en votre jugement. Vous savez que votre perception du monde est unique et, puisque personne ne voit exactement ce que vous voyez, vous savez que personne ne peut prendre de décision à votre place ou vous dire ce qu'il faut croire ou penser. Quelle que soit la situation vous semblez toujours savoir ce qu'il faut faire. Vous ne vous laissez pas facilement influencer par les arguments des autres, aussi persuasifs soient-ils.

Restaurer : Vous aimez résoudre les problèmes. Vous vous enthousiasmez à l'idée d'analyser les symptômes, d'identifier ce qui ne va pas et de trouver la solution. Peu importe si vous avez une préférence pour les problèmes pratiques, conceptuels ou personnels, particuliers, complexes ou nouveaux, ou encore ceux qui concernent une machine, une personne ou encore une entreprise, une chose demeure : vous aimez rétablir l'ordre naturel des choses.

Équité : Pour vous, l'équilibre est important et vous êtes conscient de la nécéssité de traiter tout le monde de la même façon, quel que soit le statut des personnes ou leur rang dans la société. Vous refusez un monde où certains sont injustement avantagés en raison de leurs relations et de leur milieu. Vous estimez que les gens fonctionnent bien mieux dans un environnement solide, où les règles sont claires et appliquées équitablement à tout le monde. Un environnement prévisible, équitable et juste, au sein duquel on sait à quoi s'attendre, où chacun a une chance de faire valoir sa valeur et son potentiel, de façon égale et équitable. Pour ce faire, vous définissez des règles et vous vous y tenez.

Empathie : Vous ressentez les émotions de ceux qui vous entourent comme si elle étaient les vôtres et vous êtes capable, intuitivement, de voir le monde comme les autres le voient et de partager leur vision des choses. Vous n'êtes pas forcément d'accord avec eux et vous ne vous apitoyez pas forcément sur le sort de chacun. La sympathie est différente de l'empathie. Vous n'approuvez pas forcément le choix de chacun mais vous comprenez les choses et cette faculté instinctive est puissante.

Convaincu : Vous êtes doté de convictions intérieures, de valeurs fondamentales et immuables, telles que l'altruisme, la famille, la responsabilité, la morale voire même la spiritualité. Celles-ci influencent vos comportements et donnent un sens à votre vie. Constant, vous êtes une personne sur qui l'on peut compter. Votre travail doit avoir un sens, il doit compter et il ne comptera que s'il est en harmonie avec votre système de valeur.

mardi 9 février 2010

L'ordre a toujours un mauvais rôle

Inspecteur, politicien de la formation continue, voleur une fois par année au moment de payer notre cotisation trop chère...

Cette fois-ci, ne manque plus que leur réponse à un courriel envoyé par l'organisme équivalent au Royaume-Uni pour que j'obtienne le droit de pratiquer là-bas.