lundi 31 mars 2008

Tu sais que...

t'es à l'épicerie un lundi après-midi quand :
  • y'a des places de stationnement à côté de la porte.
  • la moyenne d'âge des clients vient d'augmenter de 20 ans
  • personne ne court dans les allées
  • le boucher jase tranquillement à côté du comptoir avec deux clients
  • les gens sourient en te croisant
  • les tablettes sont pleines même pour les spéciaux de la semaine
  • y'a pas de file aux caisses!

dimanche 30 mars 2008

On peux-tu être cohérents?

Y'a une nouvelle mode dans certaines villes américaines qui a inspiré Toronto et prochainement peut-être Montréal. Les pros du domaine savent depuis un bout de temps que c'est plus difficile pour les élèves noirs de réussir à l'école et d'obtenir un diplôme d'études secondaires. Ils seraient aussi plus rapidement mis à l'écart, dans des classes spéciales, en raison de leurs difficultés académiques ou de leur comportement.

Pour raviver la motivation de ces jeunes par rapport à l'école, on ouvre des écoles afrocentriques, qui proposent le programme imposé par le ministère mais en mettant l'accent sur la réalité africaine en histoire, en littérature, éventuellement en maths même. On suppose en quelque sorte que si la "compétition" avec les blancs est éliminée dans le contexte d'apprentissage, les jeunes vont mieux réussir.

Partout on parle (encore) d'accommodement, de vivre ensemble en harmonie en gambadant dans un pré fleuri où voltigent des papillons. Est-ce que ça ne serait pas l'éducation des blancs qu'il faudrait faire si les noirs dans nos écoles se sentent tellement opprimés que ça les empêche de réussir? Pourquoi est-ce que ça ne serait pas tout le monde qui serait éduqué à la réalité africaine? Un peu de culture n'a jamais tué personne... Si ces projets-là deviennent réalité, comment ils vont fonctionner en société par la suite ces enfants-là? Vous en pensez quoi?

samedi 29 mars 2008

Into the wild

Qui ose dans la vie vraiment laisser tout de côté pour partir à la recherche de soi, dans l'isolement ou dans le reflet offert par le regard des autres? Pour vrai je veux dire, vivre l'aventure sans commandite, sans plan, sans contrainte aucune.

Malgré nos rêves de liberté et d'espace on s'encarcane plus souvent qu'autrement dans un système, une routine métro-boulot-dodo, avec des excursions trop courtes et dispendieuses qui nous donnent l'illusion un instant de choisir.

Et c'est quoi le courage? Partir pour fuir, plutôt que d'affronter, d'essayer de comprendre, de se réconcilier avec la réalité? Ou justement de rester et de faire face?

Et si on part, comment c'est le retour?

Bravo Emile Hirsh qui tient le film à bout de bras, ainsi qu'à Catherine Keener et Hal Holbrook, les amis brisés du vagabond.

Merci Eddie Vedder pour la trame sonore.

Vacances sweet vacances!

Toute une semaine juste pour moi dont je compte bien profiter tout égoïstement!

Au programme, pas grand chose de bien structuré, étant donné que la dite semaine devait servir à m'entraîner en bateau en Floride. Quand même plein de films, une sauce à spag, aller jouer dehors, peut-être même une montagne! regarder le printemps s'installer, finir mon livre qui n'en finit plus, possiblement un après-midi spa et massage... une hypothétique visite à Québec avant d'aller terminer tout ça à la cabane où je travaillerai en plus d'en profiter avec les copains.

Toute une semaine chez moi où rien n'est organisé à l'avance... Je ne me souviens pas de la dernière fois où c'est arrivé. P't'être qu'après trois jours je ne me possèderai plus... À suivre.

jeudi 27 mars 2008

Comme une pub de shampoing

J'ai le goût de me sentir comme ça dans ma vie ces temps-ci, je crois que j'y arrive peut-être.

Staring at the blank page before you
Open up the dirty window
Let the sun illuminate the words that you could not find

Reaching for something in the distance
So close you can almost taste it
Release your inhibitions
Feel the rain on your skin
No one else can feel it for you
Only you can let it in
No one else, no one else

Can speak the words on your lips
Drench yourself in words unspoken
Live your life with arms wide open
Today is where your book begins
The rest is still unwritten

Courte chronique boulot

Je n'en parle pas souvent ici, parce que j'suis plus ou moins à l'aise point de vue confidentialité je crois et que souvent ça n'est pas bien intéressant. Un clin d'oeil sur ma journée d'hier, un événement qui m'a fait un peu rager et une situation cocasse.

Des fois là... j'suis dépassée par le raisonnement de certaines personnes. Un client dont on n'avait pas de nouvelles (et un autre établissement qu'il devrait fréquenter non plus) n'était pas à une réunion le concernant et avait manqué son rendez-vous avec moi la veille sans prévenir. Il ne retournait pas non plus nos appels. Étant donné son instabilité à plein de niveaux, on commençait à s'inquiéter et à penser à appeler les flics pour vérifier s'il était au moins en sécurité et non dans un profond coma éthylique. On décide juste avant de vérifier s'il ne serait pas à l'hôpital et on confirme que oui... Quand j'ai réussi à lui parler, après avoir passé au moins 10 mises en attente différentes, il me raconte avoir été tellement malade qu'il n'a pas réussi à se rendre à l'hôpital avant hier!!!!!! euuhhhh, monsieur, c'parce que quand on est trop malade pour se déplacer par ses propres moyens on a besoin d'une ambulance???????

J'ai un nouveau client, tout jeune homme ou vieil ado, comme vous voulez, qui s'entraîne et a le corps en conséquence, un style qui peut être intéressant pour certain(e)s et n'est pas trop magané pour faire changement. En fait j'suis sûre qu'il est gay mais on n'en parle pas parce que c'est crissement pas de mes affaires. Ça adonne que j'ai aussi pour client un membre de sa famille proche. Hier, j'étais justement à traiter cette personne et le garçon en question était assis tout près dans la même salle. La porte du local était ouverte et une autre cliente en passant dans le couloir lâche tout haut un commentaire comme quoi elle apprécie les attributs physiques du dit jeune homme et qu'elle a une fille environ du même âge. Moi, tout à fait spontanément, je rajoute dans l'atmosphère détendue du moment qu'on pourrait bien les matcher... et suscite les rires de mes deux clients sans qu'ils jugent pertinent de rajouter un mot sur l'histoire. Ça t'apprendra la grande à tenter d'assouvir ta curiosité déplacée!

mercredi 26 mars 2008

Haka!!!!

Juste parce que je parlais de rugby avec un ami... Déjà hâte à l'automne pour la nouvelle saison!

D'arbre en arbre ou dans les tranchées

C'est comme vous voulez. Mon choc de l'hiver, je l'ai eu ce weekend, au printemps ironiquement. Dans mon coin on a été relativement épargnés au niveau des précipitations de neige cet hiver. On a bien eu quelques bonnes tempêtes, mais la pluie au travers a réduit de façon considérable les accumulations et on a oublié qu'il en était tombé trois cent quatre-vingts centimètres.

En fin de semaine j'allais en Mauricie, à la cabane à sucres du beau père. La route demeurait un peu périlleuse à cause des grands vents... Quand je me suis exprimée sur les récentes chutes de neige et le froid, il m'a répondu avec un grand sourire : "Imagine si c'était l'hiver!" Pffff... printemps mon oeil comme tu dis...

Il a fait entailler ses 2000 érables il y a quelques semaines, à trois pieds au-dessus de la neige. Depuis, il a tellement reneigé que toute sa tubulure est coincée sous la neige. Par endroit, même les entailles sont couvertes, c'est vous dire. Le bog c'est que si jamais il se mettait à faire chaud, mettons, et que les érables décidaient de couler, tant que les tubes sont sous la neige l'eau risque de geler dans les tuyaux, causer des bris et surtout ne jamais se rendre à la cabane au bas du terrain. On a donc poursuivi l'opération pelletage 2008 vendredi, samedi et lundi. C'est un peu abrutissant, suivre la ligne principale, intersection avec une ligne secondaire, la suivre d'arbre en arbre jusqu'au bout, revenir à la ligne principale par la tranchée. D'un arbre à l'autre on ne sait jamais dans quelle direction on s'en va, des surprises tout le temps! 2000 entailles ça fait quelques kilomètres de tuyau à dégager, un chantier colossal! Du jamais vu à ce qu'il paraît, même le grand-père beau-paternel du haut de ses quatre-vingt-dix quelques années n'a jamais vu ça. Je leur souhaite de voir le bout bientôt...

Et en sortant du travail cet après-midi, gros soleil et un bon vent. Ça sent le printemps je vous le dis!

vendredi 21 mars 2008

Hypocrisie du système

Quand on parle de public versus privé dans le système de santé, j'suis toujours un peu déchirée entre le droit légitime à l'accès au soins le plus rapidement possible et l'accès gratuit garanti pour tous. Je n'ai à la base aucun problème à ce que des plus fortunés payent pour des examens ou des chirurgies couverts par l'assurance maladie afin de bypasser les listes d'attente TANT ET AUSSI LONGTEMPS que ça ne risque pas de priver des gens plus démunis de services ou d'augmenter leur délai d'attente qui est déjà beaucoup trop long.

Qu'on se le tienne pour dit, un travailleur couvert par la SAAQ en attente d'une résonance magnétique non urgente pendant 6 mois, ça coûte cher à tout le monde. C'est à mon sens pas mal gagnant de l'envoyer passer l'examen en privé, ça coûte le même prix à la SAAQ qui rembourserait la RAMQ anyway, et il risque de retourner à son emploi bien plus rapidement.

Dans ma grande naïveté, je pensais qu'au Québec on pouvait encore se venter de notre système de santé pour ses valeurs d'universalité et de gratuité. Je viens de me rendre compte que je me fourrais le doigt dans l'oeil jusqu'au coude et j'ai appris plein de choses intéressantes dans un dossier consacré au privé en santé au Québec dans l'Actualité de ce mois-ci.

J'ignorais l'existence du jugement Chaoulli, prononcé en 2005, qui rend légal l'achat d'une assurance maladie privée pour la bonne raison que d'interdire de s'en procurer une revient dans certains cas à porter atteinte la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne qui sont protégés par la Charte canadienne, en raison des listes d'attente interminables pour avoir accès à certains soins. Déjà là, on ouvre la porte aux moins fortunés qui pourraient alors profiter du système privé, et on donne une raison d'être à ce dit système. Je dis moins fortunés et non plus démunis, faut quand même la payer la dite assurance.

J'ignorais aussi qu'un médecin qui pratique dans le public ne peut se dissocier en partie de l'assurance maladie pour certaines interventions qu'il ferait à son compte. S'il souhaite pratiquer en privé, c'est en privé seulement, sauf pour les radiologiste qui échappent à ce règlement. Ça veut dire qu'un médecin qui pratique en privé, c'est définitivement un médecin de moins dans le système public. AAAARRRRKKKK C'est là que je commence à être dégoûtée.

J'ai aussi appris qu'on a tellement un système privé développé et efficace que même les patients pressés des autres provinces viennent se faire soigner chez nous en privé!!!!!!! En plus de sortir des médecins du public supposément pour diminuer les listes d'attente, ces mêmes médecins soignent des patients ayant chez eux accès à un système tout aussi universel et gratuit. Ça c'est pas mal le comble...

Comment est-ce qu'on peut créer un système hybride cohérent dans ces conditions-là?? La porte est grande ouverte au dérapage et c'est déjà commencé...

mardi 18 mars 2008

Sortez-moi de moi!

De ma tête. J'suis trop là les derniers jours, c'est pénible. Vivement le weekend, frérot, les copains, la famille, la cabane, la campagne, le grand air, respirer du soleil et de la bonne humeur...

dimanche 16 mars 2008

L'inaccessible

J'suis allée voir Borderline cet après-midi. Et j'suis rentrée à pieds, à bout de souffle à force d'étouffer les sanglots que je souhaitais garder coincés dans ma gorge.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas été bouleversée à ce point par un film. Et j'ai cherché un bout de temps pourquoi. C'est vraiment loin de ma réalité, au fond, tout ça. Peu à peu des images sont remontées que je pouvais raccrocher à ce que je venais de voir.

Une ado qui me criait par la tête, obligée par le système de me voir, à laquelle j'avais juste envie de recracher toute son agressivité, sachant bien qu'en-dessous de ça y'avait une souffrance à laquelle je n'avais pas accès.

Une maman qui éclate littéralement devant moi et coupe la communication durant une intervention, me laissant complètement sans moyen pour aider sa jeune.

Un homme qui s'attaque à mon intégrité et me laisse bien ébranlée, comme il l'a fait probablement avec toutes les femmes qu'il a croisées auparavant dans sa vie.

Un autre, en si profonde détresse qu'il urine entre les barres parallèles, en plein gymnase, incapable d'exprimer le plus élémentaire besoin.

Tous des moments où le contact est rompu, où je n'ai pas vu la brèche, où je me suis sentie pieds et poings liés, incapable, inutile, démunie. Comme devant Kiki, qui contrôle avec sa brèche, qui peut te retourner dans tes shorts le temps de le dire, bardée de défenses d'un kilomètre d'épais. Comme, surtout, sa mère. Plus souvent qu'autrement complètement isolée de la réalité.

De ne pas pouvoir toucher, ça me tue.

vendredi 14 mars 2008

Le comble de l'anti libre-choix

Tiré de l'Actualité de cette semaine...

Le représentant républicain du Mississippi a déposé un projet de loi visant l'installation de pèse-personnes à l'entrée de chacun des restaurants de son état pour permettre le calcul l'indice de masse corporelle de chaque client qui souhaite y entrer. Les obèses resteraient dehors et les établissements contrevenant pourraient perdre leur permis d'exploitation. Non mais y'a toujours ben des limites...

jeudi 13 mars 2008

Amusant

Piqué chez Mathieu. J'y apprends que je suis née un mercredi, en plein milieu de semaine, que ma planète est Mercure (c'est chaud!), ma couleur le gris (c'est plate), ma pierre le jaspe (joli) et que mon chiffre de naissance est le 8, ce qui fait de moi quelqu'un de concret, de chanceux en politique et dans mes investissements à condition que je freine mon imagination... (what the?)

J'étais un homme dans ma vie précédente, fin des années 1700, apparemment un matelot ou un cordonnier (un matelot!!!). J'étais alors attirée par la nouveauté et les changements. La leçon apprise dans le passé : il existe un lien invisible entre le monde matériel et le monde spirituel. Votre leçon consiste à chercher, trouver et utiliser ce pont magique. Éclairez-moi quelqu'un...

mercredi 12 mars 2008

Liberté cybernétique

De plus en plus de gens sont emprisonnés pour avoir exprimé sur le net une opinion qui ne plaît pas à leurs chefs d'état. Reporters sans frontières organise une cybermanif contre la censure. Vous avez jusqu'à 5h30 demain pour participer. Le site est vraiment bien fait. Ça prend 30 secondes.

mardi 11 mars 2008

Mise à jour

Formation RCR aujourd'hui... Je vais toujours là à reculons. J'ai été sauveteure (firefox dit sauveteuse mais c'est laid) plusieurs années, les techniques je les connais et généralement je n'apprends pas grand chose. J'ai l'impression de perdre mon temps. Mais aujourd'hui grâce à notre colorée super formatrice Chantale, j'suis sûre qu'il y avait un e, hyperdynamique avec un accent, québécois mais tout un accent pareil, j'ai appris plein de choses plus ou moins pertinentes.

En fait les techniques ont vraiment changé. Ceux qui connaissent déjà la base vont suivre, les autres je vous encourage fortement à aller vous former. Ça ne coûte presque rien et les personnes avec lesquelles vous risquez le plus d'utiliser les techniques sont malheureusement vos proches.

En gros, tout est simplifié.

- Dans l'ABC, on commence les compressions thoraciques dès qu'on constate que la victime ne respire pas mais que les voies respiratoires sont libres. Fini la prise de pouls.

- On place les mains au milieu du thorax de la victime, oubliez le positionnement en suivant les côtes. Perte de temps.

- On fait 5 cycles de 30 compressions pour 2 insufflations. Ça doit prendre environ 2 minutes, 2 compressions par seconde. C'est pas mal plus rapide.

- On vérifie la respiration après chaque 2 minutes de manœuvres.

- C'est le même principe à deux secouristes, face à face de chaque côté de la victime, du 30/2, 5 fois et on change de place à chaque 2 minutes. On se fatigue pas mal moins vite.

- Ils n'enseignent plus la subluxation de la mâchoire dans les cas de trauma. C'est encore adéquat comme technique, mais pour les débutants, un peu complexe et surtout difficile à pratiquer avec un mannequin. Ils recommandent maintenant de basculer progressivement la tête vers l'arrière jusqu'à ce que les voies respiratoires soient suffisamment ouvertes.

- On ne dit plus appendice xyphoïde mais bien xyxphoïde, par le même principe, dyspnée a été remplacé par dysphsnée.

Voilà! Si vous voulez des précisions demandez! Pis en situation d'urgence, le pire que vous pouvez faire c'est de ne rien faire...

vendredi 7 mars 2008

jeudi 6 mars 2008

Bouffe

Allez lire ça.

Je ne peux pas croire qu'il n'y ait pas assez de nourriture pour tout le monde sur la planète, à la quantité qu'on jette.

Je fais définitivement partie de la gang qui mange trop mais je splitterais mon lunch demain matin si j'avais assis à côté de moi quelqu'un qui ne mange pas.

Je trouve épouvantable qu'on pique dans le garde-manger des pauvres pour aller engraisser les porte-feuilles des déjà très bien nantis qui vendront leur céréales pour mettre du gaz dans des voitures.

Redistribution ça ne vous sonne pas des cloches?

Culture classique

Parfois je vais au concert. Frangine étant musicienne, je me dois de la supporter dans ses projets et ça me fait plaisir de l'entendre avec les différents ensembles dont elle fait partie. Ça a le mérite d'enrichir ma culture classique, compositeurs et styles. Sans elle, je n'aurais possiblement aucun intérêt pour la chose.

Dimanche dernier j'étais donc à Montréal pour la voir se produire avec l'ensemble Euterpe, du nom d'une muse de la mythologie grecque. Le court concert gratuit avait lieu dans la magnifique église St-Jean-Baptiste, coin Henri-Julien et Rachel. Je ne cours pas les église, loin de là, mais j'en apprécie l'architecture et surtout en cette occasion l'acoustique.

La première pièce interprétée toute en douceur était la sonate pour orgue et orchestre de Mozart, sans altis ni bazous. Les tambours et trompettes étant présents mais discrets. S'en est suivi un concerto pour trompette de Haydn interprété avec tout l'orchestre qui m'a presque réconciliée avec l'instrument que j'ai trouvé oh surprise! mélodieux par moments. Le tout se terminait avec le Stabat Mater de Vivaldi qui fut comme devait l'être, dépouillé et souffrant pour mes oreilles qui ne trouvent que peu de bonheur dans le chant classique et le récit de la crucifixion.

lundi 3 mars 2008

Camouflage

Au resto hier soir... Mettez donc ça sur le compte de la fatigue...

Moi : c'est un peu gênant... La table est haute, on pourrait se cacher en-dessous!

Frangine réaliste : Oui mais y'aura rien pour nous cacher, on va juste avoir l'air de deux filles qui se cachent!

Je parle chat!!

J'ai eu une discussion articulée avec Tacha, la minette de ma frangine hier soir, dont il a été déterminé qu'elle en est à sa première vie tenant compte de son caractère puéril.
Je l'avais sur moi et elle miaulait quelque peu sa désapprobation. Je tentai alors de lui répondre sur le même ton et lui manifestai mon mécontentement qu'elle souhaite ainsi me quitter. Elle ramena toute son attention sur ma bouche dont elle s'approcha suspicieusement et y alla d'un impressionnant crachat! J'ai libéré la bête et frangine confirme que je suis le deuxième être vivant ayant su provoquer telle réaction, la première ayant été un gros chien noir.

Diction

Répéter jusqu'à parfaite maîtrise et à vitesse croissante :

Les sushis en sachet du sushi shop.

Le chanteur sachant siffler sait siffler sur chaque scène.

Bonne chan' !

dimanche 2 mars 2008

Victoire!!!

3h30 d'attente au sans rendez-vous un dimanche matin même pas malade + tout mon pouvoir de persuasion avec les yeux suppliants du chat dans Shrek = un médecin de famille!!!!
Yé.